Wikia Héritage
Advertisement

Galbatorix fut le tyrannique Roi de l'Alagaësia. Il a été choisi par un dragon avant de devenir Dragonnier au cours de ses premières années. Sa dragonne Jarnunvösk fut tuée par des Urgals quelques années plus tard. Galbatorix, fou de douleur et de haine, demanda aux Dragonniers de lui offrir un autre dragon, mais le conseil a refusé sa demande après avoir senti son instabilité mentale.

Après que sa demande lui ait été refusée, Galbatorix a planifié un plan pour renverser ses confrères. Il a convaincu un Dragonnier nommé Morzan de lui laisser une porte ouverte à l'endroit où étaient entreposés les œufs. Galbatorix y vola un jeune dragon, Shruikan. Après s'être lié au dragon noir grâce à la magie noire, il forma les Parjures, un groupe de treize Dragonniers déchus et leurs dragons, afin de détruire les Dragonniers. Il créa ainsi un Empire à travers lequel il a pu régner sur l'Alagaësia pendant cent ans.

Il était l'antagoniste du cycle L'Héritage.

Histoire[]

Galbatorix est né en 7867 AC dans la province d'Inzilbêth, dans l'Alagaësia. Quand il eut dix ans, sa dragonne Jarnunvösk a éclos pour lui. Le Dragonnier a excellé dans ses études —à la fois physiques et mentales— et montra un potentiel exceptionnel, dépassant rapidement celui de ses pairs. Certains Dragonniers, qui étaient méfiants de son ascension rapide au pouvoir, ont été ignorés par le reste[2].

Descente dans la folie[]

Âgé de 19 ans à la fin de sa formation[3], Galbatorix, sa dragonne, et deux de ses amis se sont aventurés dans le territoire des Urgals dans la Crête. Ils ont campé sur un glacier en pensant que leur pouvoirs pouvaient repousser n'importe quelle attaque. Le groupe est tombé dans une embuscade tendue par des Urgals. Ces derniers finirent par tuer les amis de Galbatorix, leurs dragons, et blesser Jarnunvösk d'une flèche dans le cœur. Galbatorix fut le seul à avoir survécu, mais n'avait pas les connaissances nécessaires pour guérir sa dragonne. Sa folie a commencé quand il se retrouva seul dans le désert menaçant, entouré par les cadavres de ses compagnons, les bras enroulés autour de sa dragonne bien-aimée[2].

Inconsolable, Galbatorix erra à travers les montagnes, à la recherche de la mort, mais elle ne voulait pas de lui. Pendant ses errances, Galbatorix rencontra Durza. L'Ombre, ou plutôt les esprits piégés à l'intérieur de Durza, lui apprit la magie noire qui facilitera plus tard sa montée au pouvoir. En retour, Galbatorix aida Durza à retenir les esprits. Ils devinrent associés[4].

Après un certain moment, Galbatorix pensait que les Dragonniers lui offrirait un nouveau dragon. Il se mit alors a entreprendre un voyage épuisant, à pied, à travers la Crête. Il lui a fallut plusieurs mois pour parcours la Crête, dans l'autre sens. Il fut finalement retrouvé dans de la boue par un fermier, qui s'est empressé de prévenir les Dragonniers. Galbatorix dormit pendant quatre jours. À son réveil, il fut jugé par le conseil des Dragonniers pour son voyage à travers la Crête. Galbatorix réclama un nouveau dragon, mais l'intensité de sa demande a révélé qu'il ne s'était pas remis de son épreuve mentalement stable. Le conseil a ainsi refusé sa demande. À cet instant, la haine et le dégoût de Galbatorix envers ses confrères et tous les Dragonniers n'ont fait qu'accentuer sa folie. Il parvint à se persuader qu'ils étaient responsables de la mort de Jarnunvösk[4].

La Chute des Dragonniers[]

Galbatorix a commencé à mettre au point un plan pour tous les anéantir. Il utilisa la sympathie d'un Dragonnier en utilisant la magie noire, que lui avait appris Durza, pour le rallier à sa cause. Ensemble, ils tuèrent un des leurs en l'attirant dans un piège, puis Galbatorix assassina son allié de sitôt. D'autres Dragonniers se sont précipités pour assister à la scène et le surprirent en train de crier, les mains ensanglantées. Il s'échappa de manière astucieuse dans la nuit et se cacha dans les Terres désertiques. Au fil des années, les poursuites contre lui furent abandonnées[2]. Galbatorix a finalement rencontré un jeune Dragonnier nommé Morzan et l'a convaincu de lui laisser une porte ouverte à Ilirea. Galbatorix y vola un jeune dragon, Shruikan, et disparu avec Morzan dans un lieu où les Dragonniers n'osaient jamais aller. Galbatorix a enseigné à son disciple des secrets de magie noire qui n'auraient jamais été révélés. Shruikan fut contraint de servir Galbatorix ; celui-ci créa une imitation blasphématoire de l'union traditionnelle d'un dragon et d'un Dragonnier pour contraindre le dragon à le servir. Galbatorix utilisa également la magie noire pour augmenter la taille de Shruikan[4].

Galbatorix et Morzan préparèrent secrètement leur offensive contre les Dragonniers pendant l'hiver de l'an 7896 A.C., soit dix ans après la mort de Jarnunvösk[5]. Grâce à la ruse et un subterfuge, ils ont tué un nombre croissant de leurs confrères, mais aussi des dragons sauvages. Galbatorix a traqué et abattu personnellement ces anciens enseignants. Douze autres Dragonniers ont finalement rejoint leur cause. Avec Morzan, ces Dragonniers devinrent les Treize Parjures. Chaque fois qu'un dragon était tué par Galbatorix et les Parjures, ces derniers s'emparaient de son Eldunarí. Ils purent augmenter ainsi leurs pouvoirs[4].

L'avant-dernier assaut sur les Dragonniers a eu lieu sur l'île de Vroengard. Vrael, le chef le plus ancien et le plus sage de la Confrérie, s'est battu contre Galbatorix devant les portes de Dorú Araeba et failli le battre[2][4]. Mais au dernier moment, Vrael hésita à lui porter le coup fatal, et Galbatorix en profita pour blesser Vrael par le côté[4]. Vrael a été contraint de se retirer à Edoc'sil sur la montagne d'Utgard dans l'espoir qu'il puisse se guérir pour finalement vaincre l'Usurpateur[2]. Galbatorix et ses acolytes ont ainsi remporté la Bataille de Dorú Araeba. Ils saccagèrent la ville et prirent avec eux, les Eldunarí ainsi que les trois derniers œufs de dragon. Galbatorix a également perquisitionné la Grande Bibliothèque, il a thésaurisé les œuvres qu'il trouvait utiles avant de détruire le reste (comme il l'avait déjà fait à la bibliothèque d'Ilirea). Dans le Domia Abr Wyrda, Heslant le Moine décrit cette destruction sans motif de connaissances parmi les actes les plus nuisibles contre l'humanité dans l'histoire[4].

Galbatorix retrouva Vrael peu après. Encore affaiblie par ses blessures, Vrael l'a combattu, mais en vain. Le traître a blessé l'Aîné à l’entrejambe, puis l'a décapité[4]. Edoc'sil devint par la suite Ristvak’baen (Le lieu du chagrin). Galbatorix prit l'épée de Vrael, Islingr (Donneur de Lumière), pour son propre usage et l'a rebaptisé Vrangr (perfide)[4].

Galbatorix et les Parjures ont finalement jeté leur dévolu sur Ilirea. Oromis et Glaedr avaient survécu à une embuscade tendue par Formora et Kialandí et ont été en mesure d'avertir la ville de l'attaque imminente. Les elfes et les nains du clan Dûrgrimst Az Sweldn rak Anhûin ont défendu Ilirea. Malheureusement, l'Elfe Evandar, le Roi Angrenost, de nombreux elfes, et presque tout le clan ont été tués. Galbatorix a revendiqué le trône et le Royaume de Broddring. Ilirea a été rebaptisée Urû'baen et est devenue le siège de la puissance de Galbatorix[4].

Parmi ces ennemis, Oromis, Glaedr et Brom ont été les seuls à avoir survécus à ce qu'on appellera plus tard : La Chute des Dragonniers. Oromis et son dragon ont été forcés de se cacher à cause de leur blessures tandis que Brom s'est mis en quête de vengeance[4]. Sa dragonne, Saphira, ayant été tuée par les Parjures.

Les elfes ont amené avec eux leurs pupilles et se sont retirés à Du Weldenvarden, mais pas avant la destruction de leurs villes : Éwayëna et Luthivíra. Les nains se sont retirés dans les Montagnes des Beors. Galbatorix et les Parjures les ont plus tard chassés, en cherchant à éradiquer tous les nains qu'ils rencontraient ; la population a été forcée de se déplacer à Tronjheim ou à d'autres endroits souterrains. Les elfes étaient mieux défendus dans les frontières à gorges de Du Weldenvarden[4].

L'Empire de Broddring[]

En 7900 AC, la victoire semblait absolue. Avec la plupart des Dragonniers qui ont été massacrés et leurs leaders tués, Galbatorix est devenu l'un des êtres les plus puissants de l'Alagaësia. Il se proclama Roi, et fonda l'Empire, dont les frontières s'étiraient au-delà de celles du Royaume de Broddring[4].

À un certain moment au cours de cette période, Galbatorix a conclu un pacte avec les Ra'zacs afin qu'ils le servent. En échange de sa protection, à savoir un refuge magique renforcé et une ration régulière d'êtres humains, les Ra'zacs sont devenus ses chasseurs de dragons de confiance. Le roi avait également secrètement caché un certain nombre d'œufs et en a confié deux à un culte humain basé à Dras-Leona[4].

Mais la victoire n'a pas été aussi absolue que le pensait Galbatorix. Avant la bataille de Dorú Araeba, Vrael, Oromis, Glaedr, Umaroth, et quelques autres savaient qu'ils devaient protéger l'avenir des Dragonniers et des dragons. Les dragons sauvages étaient dangereusement proches de l'extinction. Pour garantir l'avenir de l'espèce, les œufs de dragons ont été cachés à Dorú Araeba sous le rocher de Kuthian. Seulement, Vrael et les autres savaient que ce ne serait pas suffisant. Les Eldunarí et les œufs ont dû être cachés aussi. Ils construisirent très profondément la Crypte des Âmes dans le mont Erolas pour cacher le dernier espoir des Dragonniers : 136 Eldunarí et 243 œufs de dragon. Avec leur permission, les connaisseurs de ce lieu avaient accepté que ce savoir soit retiré de leurs esprits et remplacé par un faux souvenir afin de protéger ses informations de Galbatorix[6]. Le Dragonnier Thuviel a accepté de s'immoler près de l'écloserie pour cachés les œufs et les Eldunarí, au cas où ils perdraient. Les retombées radioactives ont également empêcher Galbatorix de se poser sur l'île, le plan a donc fonctionné, mais malheureusement beaucoup de Dragonniers n'avaient pas conscience de l'explosion imminente ayant couté la vie à Thuviel. Galbatorix et les Parjures avaient un moment de mise en garde et étaient donc en mesure de se protéger. Galbatorix ne savait pas que sa chute était profondément cachée dans les entrailles de la montagne à proximité[6].

Les Vardens et la mort des Parjures[]

À un certain moment, Galbatorix était libre de restaurer les Dragonniers comme il l'entendait[7]...ou il le pensait[4]. Le problème avec ce passe-temps était que tout les Parjures mourraient à force de lutter, certains se faisaient assassinés, certains se suicidaient, et utilisaient trop la magie. Ainsi, ils n'ont pas échappés aux répercussion pendant la guerre des Dragonniers. Une fois que les dragons ont réalisé que treize des leurs avaient cherché à éliminer leur race, ils se sont regroupés et ont provoqués le Bannissement des Noms. Les dragons liés aux Parjures ont été dépouillés de tous leurs noms, leurs vrais noms, les noms de naissance, leurs surnoms, leurs noms de famille, et leurs titres. Personne ne pouvait prononcer leurs noms[4].

Galbatorix a été furieux à cause de cela. Comme il avait en sa possession les trois derniers œufs de dragon de l'Alagaësia, il avait du mal à promulguer la deuxième étape de son plan pour la domination du monde. Ils n'ont jamais éclos. Pour compliquer les choses, Galbatorix a envoyé son armée dans la Crête pour détruire les Urgals pour le meurtre de sa dragonne, Jarnunvösk. Mais pendant la Bataille de Stavarosk, l'Urgal Tulkhqa a attiré les humains dans un passage étroit et profond dans les montagnes. Ainsi, les Urgralgra (Urgal dans leur langue) ont abattus plus de la moitié des troupes du Roi. Après cette défaite, Galbatorix les a oublié pour un temps[4].

Un autre obstacle encore plus problématique s'est formé au Surda après la défaite de l'Empire pendant la Bataille de Cithrí. Il s'agissait d'un groupe de résistants appelés les Vardens qui étaient dirigés par Brom. Il était responsable de la mort de plusieurs Parjures, soit directement, soit indirectement, et orchestrait le vol de l'un des trois œufs de dragon du roi avec l'aide anonyme d'un Eldunarí dans la Crypte des Âmes. C'est pendant cette période que le seul Dragonnier restant de Galbatorix, Morzan, a été tué par Brom. Avant sa mort, le dernier Parjure avait un fils nommé Murtagh, un fait qu'il cachait jalousement des esprits indiscrets. Seul Galbatorix connaissait l'existence du garçon et il a gardé ce secret pour des raisons inconnues. Peut-être était-ce parce que la mère de Murtagh, Selena”—appelée aussi la "Main Noire”—Était l'agent/l'espionne le plus efficace de Morzan. Quelques années plus tard, elle disparut pendant un certain nombre de mois, au cours desquels même Galbatorix ne put la retrouver. À son retour, elle mourut d'une mystérieuse maladie. Depuis que Morzan avait été tué par Brom, peu avant ou au moment de sa mort, le roi s'est organisé afin que Murtagh soit amené au palais et au château de Morzan, qui a été caché dans les contreforts de la Crête près de la rive nord-ouest du lac Leona, qui est devenu l'une des possessions de Galbatorix. Le garçon et Galbotorix avaient un contact minimal[4].

En raison de l'imprévisibilité de Durza, Galbatorix avait utilisé l'Ombre pour des missions avec parcimonie jusqu'à la mort de Morzan. Par la suite, il comptait sur Durza pour un nombre croissant d'opérations secrètes, ce qui en faisait un personnage puissant dans l'Empire, derrière celui de son maître[4].

Lady Marelda du Surda et ses descendants ont continué à gouverner la nation nouvellement formée au sud de l'Empire pendant une centaine d'années. Comme l'avait mentionné Oromis, le Roi des Dragons, pendant de nombreuses années durant son règne, Galbatorix a préféré poursuivre ses recherches, plutôt que d'écraser son opposition restante. Pour garder un œil sur ses ennemis, il a utilisé la magie, les ressources et la coercition pour développer un réseau d'espionnage impressionnant et de grande envergure, la Main Noire, nommé d'après Selena. Il n'était pas au-dessus d'utiliser des moyens clandestins pour atteindre ses objectifs. Lorsque ses doubles agents, les Jumeaux, lui ont informés que Jeod et d'autres marchands étaient des sympathisants des rebelles, le roi ordonna à ses partisans d'entraver les activités des sympathisants jusqu'à la ruine[4].

Les Varden ont collaboré avec le Surda pour les ressources, la sécurité et un certain niveau de stabilité. Cependant, Galbatorix se sentait relativement en sécurité dans sa position. Il a consacré son attention à la recherche du vrai nom de l'ancien langage dans le but d'accumuler le plus d'informations qu'il avait volées dans les grandes bibliothèques de Dorú Areaba et d'Ilirea. La connaissance assurerait que son pouvoir serait absolu. La recherche de ce secret s'est révélée être très difficile et il y consacra plusieurs décennies. En attendant, les Vardens ont forgé une alliance avec les Nains, qui donnèrent le sanctuaire de la résistance à Farthen Dûr. Les rebelles ont transporté l'œuf de dragon qui avait été volé en va-et-vient entre les Vardens et les elfes pendant vingt ans dans l'espoir qu'il éclos pour quelqu'un qui rejoindrait leur rang[4].

Une autre complication, peut-être moins évidente que le reste, résultait des actions de Galbatorix. Le bien-être des humains, des elfes et des dragons était intrinsèquement lié ensemble. Quand un groupe refusait un ordre, les autres faisaient de même. Galbatorix, par son pouvoir, mit en mouvement la détérioration constante des trois espèces[4].

Dans le cycle L'Héritage[]

Bataille sous Farthen Dûr[]

Bataille des Plaines Brûlantes[]

Continuation[]

Capture de Nasuada[]

Bataille de Urû'baen[]

Décès[]

Caractéristiques[]

Apparence[]

Son apparence physique dans les livres diffère largement par rapport à celle du film, qui a pris beaucoup de libertés créatives. Christopher Paolini a illustré un portrait à la plume et encre de Galbatorix, qui est paru dans l'édition Deluxe de Brisingr et aussi dans Eragon, le guide d'Alagaësia, une esquisse qui correspond à la description faite de lui à la fin de L'Héritage.

Il est décrit comme étant un homme avec de longs traits du visage, des cheveux noirs mi-longs, des yeux sombres et un manteau usé et vieilli coupé de l'une des ailes de Belgabad, tenant Vrangr devant lui. Le livre ajoute également qu'il est grand, avec des épaules larges et bien construit ; caractéristiques qui ne sont pas clairement visibles sur le dessin de Paolini.

Dans le film, Galbatorix est décrit comme étant grand, mince et chauve avec une barbe et de longs ongles recourbés. Il est habillé en armure noire avec une longue cape noire, caractéristique des méchants dans la fiction.

Personnalité[]

Il est dès le début, dépeint comme un être de pouvoir à craindre, des nobles jusqu'aux paysans les plus isolés, et avec raisons. Régnant par la force aussi bien physique que mental, allant jusqu'à ensorceler son armée pour les rendre insensibles à la douleur des blessures les plus graves, faisant de ses propres troupes des êtres à peine discernable des zombies. Sa nature insidieuse le fit également engager toutes sortes de créatures abjectes, comme les Ra'zaks et même des Ombres tel Durza, êtres aussi formidables qu'effroyables, que le roi dit lui-même être capable de produire lorsqu'il le souhaite, sans remords.

Bien qu'auto-proclamé Roi de l'Alagaësia, il était surtout celui de la paranoïa, comme le décrit un jour Murtagh, au vue des nombreux sorts de protection qu'il s'était tissé autour de lui. Il n'hésite pas à prendre des enfants en otage, lorsque Eragon et les autres lui font face. Le dragonnier félon est également avare et avide, par les secrets magique et historique qu'il ne distribue qu'avec parcimonie, mais également ses richesses économique, alors que dehors, son peuple à souvent du mal à joindre les deux bouts.

C'était un mégalo maniaque calculateur, qui adorait avoir le "contrôle" ne serait-ce que par les serments magiques, qu'il obligeait celles et ceux qui l'entouraient à prononcer. Sa plus grande démonstration de "contrôle" est celle qu'il a imposé à ses forces armées. Par curiosité, il ordonna même un combat entre Eragon et Murtagh, pour savoir lequel des deux était le plus fort, les manipulant tel un marionnettiste pour éviter qu'il ne s'entretue par erreur.

Pouvoirs[]

Les dragonniers étant immortels, Galbatorix ne faisait pas exception, ayant régné près d'une centaine d'année. Mis à part les innombrables sorts de défense dont il s'était paré, ses capacités magiques et physiques de combat ne sont pas explicitement démontrées.

Les disciplines magiques dans lesquelles il excellait étaient sans doute les enchantements, aussi bien des choses inanimés ; son palais et même les alentours de sa citée fortifiée, que les choses vivantes comme son propre dragon. Ainsi que les attaques mentales, capable de créer des illusions presque parfaites, ou prendre son pied à forcer les barrières mentales de ses victimes.

Ses plus grandes réussites furent sa main mise sur un grand nombre d'Eldunari, qui lui servirent surtout de réserves d'énergies magique astronomique et puissance mentale. Et sa découverte du "vrai nom de l'ancien langage".

Néanmoins, quelques indices comme son refus de se battre au corps à corps contre Eragon, et avouant lui-même qu'on ne restait pas au sommet comme lui, en agitant simplement une épée, suggèrent soit : Qu'il n'était pas le meilleur dans cette discipline, ou qu'à force de battre ses adversaires mentalement ou en quelques mots, il avait perdu l'habitude.

Relations[]

Famille[]

...

Autres[]

...

Anecdotes[]

Galbatorix partage un point commun avec Sauron du seigneur des anneaux, il apparait comme une menace lointaine, que l'on ne voit que très rarement.

Galerie[]

Apparitions[]

Tomes 1 2 3 4 La fourchette, la sorcière et le dragon Murtagh Total
X 1





En coulisses…[]

Notes et références[]

Advertisement